Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Initiée en 2015, la Master Edition de Locke & Key propose de retrouver l'intégrale de la saga de Joe Hill et Gabriel Rodriguez en 3 volumes.
Grâce à son design de couverture soigné, ce Volume 1, qui comprend "Bienvenue à Lovecraft" et "Casse-tête", bénéficie d'une fabrication repensée, modernisée et des mêmes soins apportés aux intégrales initiées en 2023 par HiComics, et dont Tortues Ninja et Rick & Morty se sont déjà vues gratifier, à savoir : un nouveau format Intégra, avec en couverture des effets de gaufrage sur 2 niveaux et un vernis sélectif.
Les 3 volumes réunissant l'intégrale des aventures de la famille Locke devrait suivre une parution rapide, jusqu'à la fin de l'année 2024, avec la probabilité d'un quatrième tome inédit (à confirmer).
Enième réédition pour Locke and Key. L'ouvrage vaut le détour, ça, c'est évident. Si vous ne l'avez pas encore, cette édition peut-être un bon compromis. Si vous l'avez déjà, il est inutile de vous pencher sur celle-ci, aussi bien soit la couverture.
Nouvelle édition pour Locke & Key, une série qui vaut largement le détour pour son ambiance pesante et côté horreur. Hi Comics propose une version intégrale similaire a ce qui a été fait pour les Tortues Ninja, à savoir une couverture souple et un vernis sélectif dessus. Si vous ne l'avez pas déjà, c'est un bon compromis car moins cher que les deux premiers tomes spéarés.
On ne présente plus Lock & Key, une référence du comics fantastique et d'horreur. Une version intégrale = une nouvelle chance de découvrir et/ou posséder ce bijou.
L’une des meilleures séries de Remender chez Marvel arrive en Omnibus chez Panini Comics. Un titre violent et superbement écrit, malgré 1-2 arcs plus en dessous en intérêt que les meilleures histoires du volume. Chaque membre de l’équipe est développé et l’auteur n’hésite pas à chambouler brutalement l'équipe. C’est aussi son message sur la question du meurtre, très bien traité et très pertinent à une époque où la question ne semble plus faire débat dans les Super-héros. La série bénéficie aussi d’un groupe de dessinateurs talentueux comme Jérôme Opeñan et Esad Ribić, malheureusement tous les numéros ne bénéficieront pas de cette qualité graphique. C’est l’Omnibus à ne pas manquer ce mois-ci !
L'une de mes séries Marvel préférées. Quel bonheur de la voir une nouvelle fois réédité ! Clairement ce que Remender a écrit de mieux en "mainstream", la série ne recule devant rien et monte crescendo jusqu'au chef-d'oeuvre absolument qu'est l'arc "the dark angel saga". La collaboration avec Jerome Opena est plus qu'éprouvée et fait encore des miracles ici. Un pur bijou.
Rick Remender, Jerome Opeña, Esad Ribic, Phil Noto
Quand la situation exige de se salir les mains, le monde peut compter sur Wolverine, Psylocke, Archangel, Fantomex et Deadpool. Mais que feront les membres de la formation en découvrant que la plus grande des menaces se trouve dans leurs rangs ?
(Contient les épisodes US Uncanny X-Force (2010) 1-35, 5.1 et 19.1 et Wolverine: Road to Hell (2010) 1, Wolverine: Dangerous Game (2008) 1 et Deadpool (2008) 1000 (extraits), précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : UNCANNY X-FORCE 1-4, X-MEN EXTRA 73 et JE SUIS DEADPOOL)
L’une des meilleures séries de Remender chez Marvel arrive en Omnibus chez Panini Comics. Un titre violent et superbement écrit, malgré 1-2 arcs plus en dessous en intérêt que les meilleures histoires du volume. Chaque membre de l’équipe est développé et l’auteur n’hésite pas à chambouler brutalement l'équipe. C’est aussi son message sur la question du meurtre, très bien traité et très pertinent à une époque où la question ne semble plus faire débat dans les Super-héros. La série bénéficie aussi d’un groupe de dessinateurs talentueux comme Jérôme Opeñan et Esad Ribić, malheureusement tous les numéros ne bénéficieront pas de cette qualité graphique. C’est l’Omnibus à ne pas manquer ce mois-ci !
L'une de mes séries Marvel préférées. Quel bonheur de la voir une nouvelle fois réédité ! Clairement ce que Remender a écrit de mieux en "mainstream", la série ne recule devant rien et monte crescendo jusqu'au chef-d'oeuvre absolument qu'est l'arc "the dark angel saga". La collaboration avec Jerome Opena est plus qu'éprouvée et fait encore des miracles ici. Un pur bijou.
Nouvelle série qui marque le retour en force de Rick Remender chez Image Comics. Ce premier tome est fort intriguant dans ses premiers numéros où l’auteur change son style de narration pour instaurer une ambiance mystérieuse qui donne envie d’en découvrir plus. Il n’oublie pas de proposer des scènes inattendues comme il sait le faire et qui pousse à lire la suite. L’auteur propose un monde de fantasy sombre réussi grâce à l’imagination de son dessinateur qui propose des designs inventifs.
Enfin le retour de Rick Remender au top avec cette nouvelle série de fantasy, qu'il n'est pas évident de cataloguer dans un genre particulier, et pas non plus évident de déviner où nous emmène les auteurs, ce qui fait justement toute la force de ce titre. L'écriture est de grande qualité avec une narration assez littéraire et une intrigue très mystérieuse, à la fois intimiste mais qui laisse apercevoir une histoire à plus grande portée. Et quel bonheur de revoir Fiumara au dessin, ses décors sont fous et ses personnages sont d'une justesse et d'une émotion toute aussi folle. L'un des titres du moment.
Il est possible de vivre dans un monde en harmonie, mais il faut payer le prix. Le prix est élevé, mais simple. Chaque foyer doit offrir un de ses enfants en sacrifice. Alors que l'échéance arrive, un fils qui n'a jamais été aimé par sa famille doit partir honorer cette dette, mais il ignore qu'il sera peut-être l'une des clefs qui pourra enfin briser ce cycle de souffrance...
Contenu vo : The Sacrificers vol.1 (#1-5)
Nouvelle série qui marque le retour en force de Rick Remender chez Image Comics. Ce premier tome est fort intriguant dans ses premiers numéros où l’auteur change son style de narration pour instaurer une ambiance mystérieuse qui donne envie d’en découvrir plus. Il n’oublie pas de proposer des scènes inattendues comme il sait le faire et qui pousse à lire la suite. L’auteur propose un monde de fantasy sombre réussi grâce à l’imagination de son dessinateur qui propose des designs inventifs.
Enfin le retour de Rick Remender au top avec cette nouvelle série de fantasy, qu'il n'est pas évident de cataloguer dans un genre particulier, et pas non plus évident de déviner où nous emmène les auteurs, ce qui fait justement toute la force de ce titre. L'écriture est de grande qualité avec une narration assez littéraire et une intrigue très mystérieuse, à la fois intimiste mais qui laisse apercevoir une histoire à plus grande portée. Et quel bonheur de revoir Fiumara au dessin, ses décors sont fous et ses personnages sont d'une justesse et d'une émotion toute aussi folle. L'un des titres du moment.
Kirkman finit en beauté avec son dernier tome qui, bien qu'il ne soit pas sans défaut, a le mérite d'apporter une véritable fin et de boucler toutes les intrigues. Dans le monde des comics, c'est déjà pas mal. Aussi, la fin en question est travaillée, amenée. De quoi rendre Walking Dead jaloux.
Toute mon objectivité passe par la fenêtre quand il s'agit d'Invincible, mais il faut tout de même reconnaître qu'apporter une conclusion épique et qui ne décoit pas la majeure partie de ses lecteurs relève de l'exploit pour une série qui aura duré 15 ans et 144 numéros.
Mon cinq étoiles ne signifie pas que la fin est parfaite, mais plutôt qu'Invincible de manière générale est un incontournable du genre super-héroïque, revisité et sublimé par Kirkman, Ottley et Walker.
Et voilà, la conclusion de la série est là, et est à l'image de la série : une grande saga super-héroïque, pas parfaite parce que longue, mais suffisamment proche pour être l'une des meilleures histoires de super-héros jamais écrites. Tout est là maintenant, vous pouvez y aller !
Ultime opus de la meilleure série de super-héros du XXIe siècle, par Robert Kirkman, Cory Walker & Ryan Ottley, qui concluent ici le récit des aventures d'Invincible ; un héros qui est également à retrouver dans Les gardiens du Globe et Tech Jacket !
Le récit final des aventures de Mark Grayson - alias Invincible - et d'Atom Eve s'étend d'un bout à l'autre de l'univers de la série. Chacune des histoires développées depuis plus de 15 ans mène à ce moment : la fin de toutes choses...
Kirkman finit en beauté avec son dernier tome qui, bien qu'il ne soit pas sans défaut, a le mérite d'apporter une véritable fin et de boucler toutes les intrigues. Dans le monde des comics, c'est déjà pas mal. Aussi, la fin en question est travaillée, amenée. De quoi rendre Walking Dead jaloux.
Toute mon objectivité passe par la fenêtre quand il s'agit d'Invincible, mais il faut tout de même reconnaître qu'apporter une conclusion épique et qui ne décoit pas la majeure partie de ses lecteurs relève de l'exploit pour une série qui aura duré 15 ans et 144 numéros.
Mon cinq étoiles ne signifie pas que la fin est parfaite, mais plutôt qu'Invincible de manière générale est un incontournable du genre super-héroïque, revisité et sublimé par Kirkman, Ottley et Walker.
Et voilà, la conclusion de la série est là, et est à l'image de la série : une grande saga super-héroïque, pas parfaite parce que longue, mais suffisamment proche pour être l'une des meilleures histoires de super-héros jamais écrites. Tout est là maintenant, vous pouvez y aller !
Tour d'Ivoire est peut-être la meilleure histoire jamais écrite sur les Inhumains. Jenkins maîtrise son récit, et nous propose un récit palpitant loin des clichés des super-héros, avec un Jae Lee au dessin en grand forme et offrant une atmosphère incroyable. A lire !
Paul Jenkins, Jae Lee
Les pouvoirs des Inhumains sont le fruit d'un rituel de passage, quand ils traversent les brumes tératogènes. Découvrez ces personnages complexes, alors que leur ville, Attilan, est menacée par des envahisseurs et par le danger interne que représente Maximus le Fou, frère de Flèche Noire !
(Contient les épisodes US Inhumans (1998) 1-12, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : INHUMANS)
Tour d'Ivoire est peut-être la meilleure histoire jamais écrite sur les Inhumains. Jenkins maîtrise son récit, et nous propose un récit palpitant loin des clichés des super-héros, avec un Jae Lee au dessin en grand forme et offrant une atmosphère incroyable. A lire !
La franchise de la Planète des Singes est de retour chez Marvel, avec une nouvelle pierre à l'édifice, qui se situe en préquel de tous les films, au moment où le virus commence à se propager. C'est une période intéressante dans la mythologie et c'est plutôt bien abordé et bien écrit, alors que l'on voit les humains se diviser sur le sort des singes et que l'on sent les prémices de la montée en capacités et en intelligence des bêtes. Les fans de la franchise devraient apprécier.
David F. Walker, Dave Wachter
Des années ont passé depuis que le virus ALZ-113 s’est propagé et a décimé la population mondiale. Dans ce monde apocalyptique, l’humanité s’effondre et les singes prospèrent. Un groupe de fanatiques imagine une solution extrême : l’éradication pure et simple des primates.
(Contient les épisodes US Planet of the Apes (2023), inédits)
La franchise de la Planète des Singes est de retour chez Marvel, avec une nouvelle pierre à l'édifice, qui se situe en préquel de tous les films, au moment où le virus commence à se propager. C'est une période intéressante dans la mythologie et c'est plutôt bien abordé et bien écrit, alors que l'on voit les humains se diviser sur le sort des singes et que l'on sent les prémices de la montée en capacités et en intelligence des bêtes. Les fans de la franchise devraient apprécier.
Malgré l'apparent fan service d'un tel titre, Benjamin Percy ne tombe pas dans la facilité ou dans le boulot baclé et nous offre une vraie bonne histoire, bien écrite et construite entre les deux personnages. Avec des dessins à la hauteur. On passe un très bon moment.
Benjamin Percy, Greg Land, Andrea Di Vito, Ken Lashley
Lorsqu’un Predator, se confronte à James Howlett au début du XXe siècle, aucun des deux ne se doute que leur affrontement va durer plusieurs décennies. Au terme de cette bataille, il ne pourra en rester qu’un. Qui l’emportera ?
(Contient les épisodes US Predator Versus Wolverine (2023) 1-4, inédits)
Malgré l'apparent fan service d'un tel titre, Benjamin Percy ne tombe pas dans la facilité ou dans le boulot baclé et nous offre une vraie bonne histoire, bien écrite et construite entre les deux personnages. Avec des dessins à la hauteur. On passe un très bon moment.
Nouvelle série Wonder Woman qui marque le retour de Tom King sur un titre régulier DC et en continuité.
Un premier tome imparfait au scénario, notamment à cause de son auteur. Pour les fans du style de Tom King, vous adorerez ce premier tome, pour les autres, ce n'est pas ce tome qui vous fera changer d’avis, tant ses tics de narration reste présent. Toutefois, on ne peut nier que ce premier arc est ambitieux et est plus marquant que la précédente série. L'auteur à de bonnes idées, aborde des thèmes intéressants et apporte une vision (plus ou moins) respectueuse de Wonder Woman. Par contre ce qui est indiscutable, ce sont les dessins de Daniel Sampere qui sont impeccables et très détaillés. Il est toujours en grande forme et magnifie l'amazone.
Flash-back et flash-forward, narration en voix-off (ou l'équivalent en version comics), un dessinateur au sommet de son art, Wonder Woman se voit doté de quasiment tous les ingrédients de la recette Tom King. Sur moi ça fonctionne pas mal, mais j'ai parfois du mal à suivre de manière mensuelle les oeuvres de Tom King, qui sont selon moi bien plus percutantes en intégrale. Ça tombe bien, en voilà une ! L'occasion du grand format est aussi une chance pour mieux profiter du style Daniel Sampere qui est magnifique à chaque case, et pour tous les personnages.
Pour les fans de l'Amazone ou de Tom King je recommande. Pour ceux qui en ont marre du style d'écriture du scénariste, rebroussez chemin !
Le début de la Wonder Woman de Tom King est haletant, avec beaucoup d'action et une idée de départ plutôt bien trouvée. Perso, j'adore, mais on voit vite que Tom King s'installe pour quelque temps, puisqu'il fait trainer son intrigue comme il sait le faire. Si vous ne l'avez pas aimé sur Batman, vous ne l'aimerez pas sur Wonder Woman... mais je l'ai aimé sur Batman, et j'aime beaucoup sa Wonder Woman !
Wonder Woman retrouve toute son aura et tout son charisme dans cette nouvelle série, signée King et Sampere, avec un postulat de départ qui laisse le champ à beaucoup de choses intéressantes à développer. Si l'approche plus "douce" et "féminine" du personnage, que l'on a pu voir dans le run précédent, est un aspect que l'on aime chez Diana, la voir retrouver un côté "bad-ass" face à une armée de tanks fait également du bien. Sampere est incroyable au dessin et participe totalement à l'aspect très épique du titre, alors que Tom King installe une intrigue politique à grande envergure. On pourra cela dit effectivement reprocher au scénariste sa narration assez stéréotypée désormais, que l'on retrouve dans toutes ses séries. En espérant qu'il n'en devienne pas ennuyeux plus la série avancera.
Un massacre vient d'avoir lieu. La coupable serait une mystérieuse Amazone. Devant une telle atrocité, le Congrès n'a d'autre choix que de promulguer l'Amazon Safety Act, défendant le sol américain à toute citoyenne de Themyscira. Pour que cette loi soit appliquée au plus vite, le gouvernement met au point une équipe spéciale, dont le but est de bannir celles qui refusent d'obtempérer, et ce, par tous les moyens nécessaires. C'est donc une Wonder Woman hors-la-loi qui va devoir démêler le vrai du faux dans cette affaire. Et la vérité risque de la surprendre...
Contenu vo : Wonder Woman 1-6 + Trinity Special #1
Nouvelle série Wonder Woman qui marque le retour de Tom King sur un titre régulier DC et en continuité.
Un premier tome imparfait au scénario, notamment à cause de son auteur. Pour les fans du style de Tom King, vous adorerez ce premier tome, pour les autres, ce n'est pas ce tome qui vous fera changer d’avis, tant ses tics de narration reste présent. Toutefois, on ne peut nier que ce premier arc est ambitieux et est plus marquant que la précédente série. L'auteur à de bonnes idées, aborde des thèmes intéressants et apporte une vision (plus ou moins) respectueuse de Wonder Woman. Par contre ce qui est indiscutable, ce sont les dessins de Daniel Sampere qui sont impeccables et très détaillés. Il est toujours en grande forme et magnifie l'amazone.
Flash-back et flash-forward, narration en voix-off (ou l'équivalent en version comics), un dessinateur au sommet de son art, Wonder Woman se voit doté de quasiment tous les ingrédients de la recette Tom King. Sur moi ça fonctionne pas mal, mais j'ai parfois du mal à suivre de manière mensuelle les oeuvres de Tom King, qui sont selon moi bien plus percutantes en intégrale. Ça tombe bien, en voilà une ! L'occasion du grand format est aussi une chance pour mieux profiter du style Daniel Sampere qui est magnifique à chaque case, et pour tous les personnages.
Pour les fans de l'Amazone ou de Tom King je recommande. Pour ceux qui en ont marre du style d'écriture du scénariste, rebroussez chemin !
Le début de la Wonder Woman de Tom King est haletant, avec beaucoup d'action et une idée de départ plutôt bien trouvée. Perso, j'adore, mais on voit vite que Tom King s'installe pour quelque temps, puisqu'il fait trainer son intrigue comme il sait le faire. Si vous ne l'avez pas aimé sur Batman, vous ne l'aimerez pas sur Wonder Woman... mais je l'ai aimé sur Batman, et j'aime beaucoup sa Wonder Woman !
Wonder Woman retrouve toute son aura et tout son charisme dans cette nouvelle série, signée King et Sampere, avec un postulat de départ qui laisse le champ à beaucoup de choses intéressantes à développer. Si l'approche plus "douce" et "féminine" du personnage, que l'on a pu voir dans le run précédent, est un aspect que l'on aime chez Diana, la voir retrouver un côté "bad-ass" face à une armée de tanks fait également du bien. Sampere est incroyable au dessin et participe totalement à l'aspect très épique du titre, alors que Tom King installe une intrigue politique à grande envergure. On pourra cela dit effectivement reprocher au scénariste sa narration assez stéréotypée désormais, que l'on retrouve dans toutes ses séries. En espérant qu'il n'en devienne pas ennuyeux plus la série avancera.
Vestron enchaîne les intégrales Mighty Morphin Power Rangers et ce troisième tome vient conclure le premier cycle de la série qui permettait de remttre à plat l'univers et à présenter de nouveaux pans de l'univers comme Drakkon ou une ancienne équipe de Rangers que l'on va découvrir dans ce tome. Kyle Higgins continue de nous accrocher avec ces épisodes et fait monter le tout pour le gigantestque crossover qui commencera dans le prochain tome.
Écrit par Kyle Higgins (Radiant Black), dessiné par Hendry Prasetya (Kamen Rider zero-one).
Cette intégrale regroupe les épisodes #17-23, INÉDITS EN FRANCE, ainsi que deux histoires supplémentaires : « Psycho », racontant l’origine des Psycho Rangers, et « Le procès d’Astronema » (en lien avec l’histoire principale et le récit complet Power Rangers : The Psycho Path) et une galerie d’illustrations.
Alors que la poussière retombe après la prise de contrôle mondiale de Rita, le gouvernement commence à enquêter sur les Power Rangers dans le cadre d’une opération qui touchera le cœur même de l’équipe tandis qu’un nouveau pan de l’histoire des Power Rangers remontant aux années 60 est révélé ! Bien avant que Jason, Zack, Kimberly, Billy et Trini ne deviennent des Power Rangers, Zordon a été contraint de recruter des Rangers pour combattre un ennemi carrément… psychopathe.
Alors que les tensions montent entre les Rangers, ils mettent de côté leurs différences et s’unissent à Promethea pour affronter une nouvelle menace dans des événements menant tout droit au cataclysmique Shattered Grid !
Vestron enchaîne les intégrales Mighty Morphin Power Rangers et ce troisième tome vient conclure le premier cycle de la série qui permettait de remttre à plat l'univers et à présenter de nouveaux pans de l'univers comme Drakkon ou une ancienne équipe de Rangers que l'on va découvrir dans ce tome. Kyle Higgins continue de nous accrocher avec ces épisodes et fait monter le tout pour le gigantestque crossover qui commencera dans le prochain tome.
Nouvelle série de Robert Kirkman qui lance un nouvel univers partagé avec des licences bien connu du grand public. La série aura surtout fait du bruit pour les caméos en lien avec les Transformers. Si on enlève les caméos qui fonctionnent pour les fans, Kirkman propose un titre sympa à suivre avec quelques twist, malgré un univers de SF très classique à découvrir. Au moins, les dessins de Lorenzo De Felici sont impeccables, il présente un bel univers aux niveaux des costumes et des vaisseaux. À voir si le titre dépassera son lien avec l'univers des Transformers dans les prochains numéros.
Un très bon récit de SF intimiste, qui se centre sur ses deux personnages et leur relation. Le titre ne propose pas forcément des thématiques originales mais le fait avec talent, notamment grâce aux dialogues de Kirkman et aux superbes dessins de De Felici. Du solide.
Depuis des siècles, deux peuples rivaux se livrent une guerre sans merci pour les dernières ressources disponibles de leur système stellaire. Une situation devenue critique depuis la formation d'un trou noir autour duquel grativent désormais les vestiges des deux civilisations en guerre. Ainsi débuta la guerre de l'Anneau Sacré...
Darak et Solila, deux pilotes rivaux en mission pour leur peuple, s'écrasent sur une planète désolée et doivent se résoudre à coopérer sous peine de périr. Mais leur présence a provoqué le réveil d'une puissante entité et précipité une succession d'événements dont la formidable ampleur reste encore à déterminer !
Contenu vo : Void Rivals #1-6
Nouvelle série de Robert Kirkman qui lance un nouvel univers partagé avec des licences bien connu du grand public. La série aura surtout fait du bruit pour les caméos en lien avec les Transformers. Si on enlève les caméos qui fonctionnent pour les fans, Kirkman propose un titre sympa à suivre avec quelques twist, malgré un univers de SF très classique à découvrir. Au moins, les dessins de Lorenzo De Felici sont impeccables, il présente un bel univers aux niveaux des costumes et des vaisseaux. À voir si le titre dépassera son lien avec l'univers des Transformers dans les prochains numéros.
Un très bon récit de SF intimiste, qui se centre sur ses deux personnages et leur relation. Le titre ne propose pas forcément des thématiques originales mais le fait avec talent, notamment grâce aux dialogues de Kirkman et aux superbes dessins de De Felici. Du solide.
Petit tome Deluxe pour conclure (?) le run de Duggan et Poshen sur Deadpool. On retrouve ici essetiellement des one-shot et surtout les épisodes flashback éparpillés au fil de la série mais qui racontaient une histoire dans la veine du run très axé sur l'humour. Le petit tome pas forcément nécessaire mais qui vient compléter le run ou qui peut se lire indépendamment du coup pour ceux qui voudrait tester l'humour de ce duo créatif.
Gerry Duggan, Brian Poshen, Scott Koblish, Salva Espin
Lorsque Nick Fury est pris pour cible par un Adolf Hitler capable de voyager dans le temps, Deadpool et Cable volent au secours du célèbre espion. Pour le Mercenaire Disert, c’est le début d’un périple qui l’emmènera du Wakanda en Asgard, en passant par le New York des années 1970 !
(Contient les épisodes US Deadpool (2012) 7, 13, 20, 26, Annual (2013) 2, Bi-Annual (2014) 1 et Death of Wolverine: Deadpool & Cap (2014) 1, précédemment publiés dans DEADPOOL : FLASHBACKS, MARVEL MUST-HAVE : DEADPOOL – LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND, MARVEL-VERSE : DEADPOOL et MARVEL NOW! : DEADPOOL SPECIAL)
Petit tome Deluxe pour conclure (?) le run de Duggan et Poshen sur Deadpool. On retrouve ici essetiellement des one-shot et surtout les épisodes flashback éparpillés au fil de la série mais qui racontaient une histoire dans la veine du run très axé sur l'humour. Le petit tome pas forcément nécessaire mais qui vient compléter le run ou qui peut se lire indépendamment du coup pour ceux qui voudrait tester l'humour de ce duo créatif.
Nouvelle série pour Captain America, un an après la précédente. Malgré l’équipe créative, le résultat n’est pas aussi bon qu’espéré.
Un retour de JMS chez Marvel qui n'aura pas fait beaucoup d'éclats. Et pour cause, une intrigue qui travaille le personnage, notamment sur ses jeunes années, mais qui reste assez classique et n'apporte rien de bien nouveau. L'approche d'un jeune Steve militant est intéressante mais est-ce qu'elle colle vraiment avec le passé du personnage tel qu'on le connaît ? Il y a une impression de retcon un peu désagréable. L'écriture est néamoins toujours de qualité, les différentes intrigues se lient bien et les dessins de Saiz sont une nouvelle fois top avec sa performance sur le Punisher. Pas transcendant, mais de qualité.
J. Michael Straczynski, Jesus Saiz, Lan Medina
Entre un service rendu à Spider-Man et une sollicitation des Quatre Fantastiques, Steve Rogers essaie de renouer avec la vie civile sous le costume de Captain America. Mais c’est compter sans le retour de l’A.I.M. qui s’adonne à la magie noire depuis qu’un démon en a pris le contrôle…
(Contient les épisodes US Captain America (2023) 1-4, inédits)
Nouvelle série pour Captain America, un an après la précédente. Malgré l’équipe créative, le résultat n’est pas aussi bon qu’espéré.
Un retour de JMS chez Marvel qui n'aura pas fait beaucoup d'éclats. Et pour cause, une intrigue qui travaille le personnage, notamment sur ses jeunes années, mais qui reste assez classique et n'apporte rien de bien nouveau. L'approche d'un jeune Steve militant est intéressante mais est-ce qu'elle colle vraiment avec le passé du personnage tel qu'on le connaît ? Il y a une impression de retcon un peu désagréable. L'écriture est néamoins toujours de qualité, les différentes intrigues se lient bien et les dessins de Saiz sont une nouvelle fois top avec sa performance sur le Punisher. Pas transcendant, mais de qualité.
Une série qui n'est pas sans défaut mais qui devrait plaire au plus grand nombre. Sans aller jusqu'à dire que c'est du DC version Game of Thrones, le titre en prend néanmoins suffisamment de traits pour s'en rapprocher et divertir.
Conclusion (?) de cette maxi-série qui se finit sur un bilan mitigé malgré ses qualités. En plus des défauts habituels propre à l'auteur, si les quelques retournements de situation et réinterprétation de l’univers DC fonctionnent bien, la fin se fait sans trop d’éclat et fait appel à une suite peu nécessaire. Au moins, Yasmine Putri a pu assurer tous les numéros cette fois-ci qui sont toujours sublime, même si un peu moins beau sur les derniers numéros.
Suite et fin de cette maxi-série qui est suprenante. Tom Taylor continue de se faire plaisir avec les Elseworld chez DC comics et cet univers façon heroic-gfantasy fonctionne bien. Ce deuxième tome va avoir son lot de retournement de situation pour mener à la guerre des royaumes puis à un autre combat avec des ennemis surprenants. C'est assez halletant et surtout c'est plus simple de suivre la lecture qu'en VO où les épisodes ont été très espacés.
Une seconde moitié qui reste plutôt divertissante malgré une fin assez courte et peu développée. Je regrette un peu le côté expéditif de cette conclusion, surtout que je trouvais les premiers numéros prenaient le temps d'établir un univers intéressant.
Cela reste quand même agréable et assez spectaculaire visuellement parlant.
Sans parler de déception, cette deuxième partie n'arrive pas au même niveau que la première, mais je conseille quand même pour les fans d'Elseworld et de fantasy.
Si l'installation de cet univers était de qualité dans le premier tome, on a un Tom Taylor qui retombe dans ses travers de la surenchère avec des retournements dans tous les sens, certes plutôt cohérents, mais qui donnent une impression de "too much", là où une conclusion plus classique s'appuyant sur ce qui avait déjà été construit aurait sans doute était plus judicieuse. Heureusement, c'est joli. Et malgré tout divertissant.
Aux portes de la mort, Batman se cache pour essayer de se remettre de ses blessures et de la trahison de son frère d'armes, Kal-El. Loin de là , la bataille pour les Trois Royaumes s'enveniment et prend vite une tournure dramatique, alors que les ennemis se révèlent et que de sombres secrets se répandent comme le sang sur le champ de bataille... Les héros parviendront-ils à éviter à cette guerre l'issue la plus funeste ?
Contenu vo : Dark Knight of Steel #7-12
Une série qui n'est pas sans défaut mais qui devrait plaire au plus grand nombre. Sans aller jusqu'à dire que c'est du DC version Game of Thrones, le titre en prend néanmoins suffisamment de traits pour s'en rapprocher et divertir.
Conclusion (?) de cette maxi-série qui se finit sur un bilan mitigé malgré ses qualités. En plus des défauts habituels propre à l'auteur, si les quelques retournements de situation et réinterprétation de l’univers DC fonctionnent bien, la fin se fait sans trop d’éclat et fait appel à une suite peu nécessaire. Au moins, Yasmine Putri a pu assurer tous les numéros cette fois-ci qui sont toujours sublime, même si un peu moins beau sur les derniers numéros.
Suite et fin de cette maxi-série qui est suprenante. Tom Taylor continue de se faire plaisir avec les Elseworld chez DC comics et cet univers façon heroic-gfantasy fonctionne bien. Ce deuxième tome va avoir son lot de retournement de situation pour mener à la guerre des royaumes puis à un autre combat avec des ennemis surprenants. C'est assez halletant et surtout c'est plus simple de suivre la lecture qu'en VO où les épisodes ont été très espacés.
Une seconde moitié qui reste plutôt divertissante malgré une fin assez courte et peu développée. Je regrette un peu le côté expéditif de cette conclusion, surtout que je trouvais les premiers numéros prenaient le temps d'établir un univers intéressant.
Cela reste quand même agréable et assez spectaculaire visuellement parlant.
Sans parler de déception, cette deuxième partie n'arrive pas au même niveau que la première, mais je conseille quand même pour les fans d'Elseworld et de fantasy.
Si l'installation de cet univers était de qualité dans le premier tome, on a un Tom Taylor qui retombe dans ses travers de la surenchère avec des retournements dans tous les sens, certes plutôt cohérents, mais qui donnent une impression de "too much", là où une conclusion plus classique s'appuyant sur ce qui avait déjà été construit aurait sans doute était plus judicieuse. Heureusement, c'est joli. Et malgré tout divertissant.
Un titre un peu trompeur, car il contient aussi la courte série X-factor avec la mini-série The Trail of Magneto, qui sert de suite à X-factor. Le concept de la série est intéressant et les membres de l’équipe sont variés. Il n’empêche que la série n’est pas toujours passionnante à suivre et on sent que l’auteur visait sur le plus long terme. Quant à The Trail of Magneto, l’histoire aurait pu être intéressante, mais le rythme de l'histoire est mal géré et toute l’histoire autour de la sorcière rouge est confuse à lire.
Leah Williams, David Baldeon, Lucas Werneck
Les Cinq peuvent ressusciter n’importe quel mutant ayant péri. Mais il y a des règles, et pour s’assurer qu’elles soient respectées, Facteur-X doit d’abord mener l’enquête. Et quand le corps sans vie de Wanda Maximoff est retrouvé au Gala des Damnés, tout semble accuser Magnéto…
(Contient les épisodes US X-Factor (2020) 1-3, 5-10 et X-Men: The Trail of Magneto (2021) 1-5, précédemment publiés dans X-MEN : DAWN OF X 12, 14-15, X-MEN : REIGN OF X 1, 9-10, 16-20 et MARVEL DELUXE : HELLFIRE GALA)
Un titre un peu trompeur, car il contient aussi la courte série X-factor avec la mini-série The Trail of Magneto, qui sert de suite à X-factor. Le concept de la série est intéressant et les membres de l’équipe sont variés. Il n’empêche que la série n’est pas toujours passionnante à suivre et on sent que l’auteur visait sur le plus long terme. Quant à The Trail of Magneto, l’histoire aurait pu être intéressante, mais le rythme de l'histoire est mal géré et toute l’histoire autour de la sorcière rouge est confuse à lire.
Un très bon récit d'horreur qui joue sur la peur des profondeurs marines, proposé par un Scott Snyder à l'époque où il était encore en grâce et s'amusait à aborder différentes thématiques d'horreur, genre qu'il adore et qu'il maitrise. Et puis, Sean Murphy au dessin, quoi.
Lorsqu'elle est arrachée à ses recherches pour rejoindre une expédition secrète gouvernementale en plein Arctique, la biologiste marine Lee Archer ne se doute pas une seconde de ce qu'elle s'apprête à découvrir par 300 pieds sous la calotte glaciaire. Après avoir été présentée à l'équipe de spécialistes en tous genres, Lee découvre dans un caisson la raison d'être de cette expédition top secrète : le spécimen vivant d'une véritable chimère marine, une sirène...
Contenu vo : The Wake (#1-10)
Un très bon récit d'horreur qui joue sur la peur des profondeurs marines, proposé par un Scott Snyder à l'époque où il était encore en grâce et s'amusait à aborder différentes thématiques d'horreur, genre qu'il adore et qu'il maitrise. Et puis, Sean Murphy au dessin, quoi.
Une histoire de vengeance assez classique mais non moins jouissive, un rythme à 100 à l'heure et des dessins incroyables, qui est un exemple de complémentarité entre un scénariste et un dessinateur. Un titre à mettre entre les mains des lecteurs de comics comme des lecteurs de BD.
Poignardée dans le dos, empoisonnée et laissée pour morte par son propre gang, Kali se lance dans une vengeance sans retour à travers un désert ravagé par la guerre. La mort imminente coulant dans ses veines et une armée fasciste à ses trousses, Kali ne reculera devant rien pour se faire justice, même si cela doit être la dernière chose qu'elle fera jamais.
Daniel Freedman (Raiders) et Robert Sammelin, artiste pour Mondo et le studio de jeux vidéo DICE, nous offrent un roman graphique original et un spectacle d'action existentielle non-stop, parfait pour les fans de Mad Max : Fury Road.
Une histoire de vengeance assez classique mais non moins jouissive, un rythme à 100 à l'heure et des dessins incroyables, qui est un exemple de complémentarité entre un scénariste et un dessinateur. Un titre à mettre entre les mains des lecteurs de comics comme des lecteurs de BD.
Le duo Brubaker/Phillips ne s'essouflerait-il pas un peu ? Je dis toujours qu'ils nous proposent sans arrêt la même chose mais qu'à chaque fois ça fonctionne grâce à leur talent. Mais entre Night Fever et celui-ci, on est clairement un niveau en-dessous par rapport à un Reckless par exemple. Alors attention, c'est un bon récit polar, intéressant dans sa narration multiple où le point central de l'intrigue est vu de manière différente par tous les personnages de l'histoire. Brubaker se renouvelle malgré tout un peu dans sa narration, mais il nous manque un petit quelque chose en plus pour nous mettre une baffe comme il a pu le faire par le passé. Sean Phillips de son côté enchaine pas mal et ça se voit, surtout quand son fils commence de plus en plus à l'aider. Mais une fois qu'on a dit tout ça, il n'en reste pas moins que le duo est toujours une référence aujourd'hui.
Cette nouvelle plongée dans les tréfonds de l'âme humaine vous est proposée par les spécialistes de la Crime Fiction, Ed Brubaker & Sean Phillips, les auteurs de Criminal, Reckless, Pulp et Fondu au Noir.
Une pension pleine de drogués ; une femme au foyer négligée ; une jeune fille qui se prend pour une super-héroïne ; un flic qui veut qu'on le laisse tranquille et un détective privé à la recherche d'une fugueuse. Ces récits et ces tranches de vie s'entremêlent au cours d'un été fatidique. LA OU GISAIT LE CORPS est une histoire d'amour et de meurtre, racontée du point de vue de tous les personnages. Mais qui dit vrai ?
Le duo Brubaker/Phillips ne s'essouflerait-il pas un peu ? Je dis toujours qu'ils nous proposent sans arrêt la même chose mais qu'à chaque fois ça fonctionne grâce à leur talent. Mais entre Night Fever et celui-ci, on est clairement un niveau en-dessous par rapport à un Reckless par exemple. Alors attention, c'est un bon récit polar, intéressant dans sa narration multiple où le point central de l'intrigue est vu de manière différente par tous les personnages de l'histoire. Brubaker se renouvelle malgré tout un peu dans sa narration, mais il nous manque un petit quelque chose en plus pour nous mettre une baffe comme il a pu le faire par le passé. Sean Phillips de son côté enchaine pas mal et ça se voit, surtout quand son fils commence de plus en plus à l'aider. Mais une fois qu'on a dit tout ça, il n'en reste pas moins que le duo est toujours une référence aujourd'hui.
Réédition en Deluxe du court passage d’Andrew sur Iron Fist. Une très bonne idée rien que pour les dessins. C’est une tuerie visuelle qui sert à merveille des scènes d’action fabuleuse. Heureusement, le scénario tient plutôt bien la route. Il est bien rythmé et reste dans les pas d'Immortal Iron Fist en reprenant certains éléments.
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Kaare Andrews
Le temps où il errait seul, orphelin, perdu dans les hauteurs enneigées de l’Himalaya, est un lointain souvenir pour Daniel Rand. Désormais, c’est un playboy, un millionnaire et un super-héros. Mais voilà qu’une jeune pensionnaire de K'un-Lun le somme de retourner là -bas…
(Contient les épisodes US Iron Fist: The Living Weapon (2014) 1-12, précédemment publiés dans 100% MARVEL : IRON FIST – L'ARME VIVANTE 1-2)
Réédition en Deluxe du court passage d’Andrew sur Iron Fist. Une très bonne idée rien que pour les dessins. C’est une tuerie visuelle qui sert à merveille des scènes d’action fabuleuse. Heureusement, le scénario tient plutôt bien la route. Il est bien rythmé et reste dans les pas d'Immortal Iron Fist en reprenant certains éléments.
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Un comics en grande partie silencieux, par le dessinateur de Deadly Class, qui laisse parler tout son talent et nous offre une chouette aventure. Ça ne va pas extrêmement loin en termes de scénario, mais ce n'est pas le but de ce titre, c'est un voyage et une aventure dans lequels il faut se laisser embarquer.
Après la destruction de son village, la jeune Kaya se voit confier une mission : elle doit accompagner son petit frère jusqu'à un lointain refuge, où celui-ci est destiné à découvrir le secret de l'empire tout-puissant qui a ravagé leur monde. Armé de son bras magique et d'un mental d'acier, Kaya parviendra-t-elle à traverser ce monde hostile peuplé de monstres et de mutants en tout genre ?
Contenu vo : Kaya #1-6 + 16 page PROLOGUE from the Image! Anthology
Un comics en grande partie silencieux, par le dessinateur de Deadly Class, qui laisse parler tout son talent et nous offre une chouette aventure. Ça ne va pas extrêmement loin en termes de scénario, mais ce n'est pas le but de ce titre, c'est un voyage et une aventure dans lequels il faut se laisser embarquer.
Avec ce volume, on entre dans les titres Star Wars les plus vieux ainsi que les plus fascinants à lire. Notamment, car ce sont des récits fondateurs qui ont façonné l’univers étendu tel qu’on l'a connu et apporté énormément d'éléments qu’on retrouvera dans les comics et jeux vidéo de l’univers Legends. Même s’il faut reconnaître que les histoires de ce volume ne sont pas les meilleures à lire. Les dessins peuvent aussi rebuter par leur aspect old-school, mais quand on dépasse ce détail, qui offre un certain charme aux histoires, on a affaire à des récits Star Wars intéressants à lire.
Kevin J. Anderson, Tom Veitch, Chris Gossett, Tony Akins…
Cinq mille ans avant la naissance de Luke Skywalker, l’Empire Sith règne sur la galaxie au pic de sa puissance. Néanmoins, la Grande Guerre de l’Hyperspace risque de provoquer sa chute… Puis, un millénaire plus tard, deux légendes Jedi émergent : Nomi Sunrider et Ulic Qel-Droma.
(Contient les épisodes US Star Wars: Tales of the Jedi – The Golden Age of the Sith (1996) 1-5, Star Wars: Tales of the Jedi – The Fall of the Sith Empire (1997) 1-5, Star Wars: Tales of the Jedi (1993) 1-5 et Star Wars Tales: Tales of the Jedi – The Freedon Nadd Uprising (1994) 1-2, précédemment publiés dans Star Wars – La Légende des Jedi 1-3)
Avec ce volume, on entre dans les titres Star Wars les plus vieux ainsi que les plus fascinants à lire. Notamment, car ce sont des récits fondateurs qui ont façonné l’univers étendu tel qu’on l'a connu et apporté énormément d'éléments qu’on retrouvera dans les comics et jeux vidéo de l’univers Legends. Même s’il faut reconnaître que les histoires de ce volume ne sont pas les meilleures à lire. Les dessins peuvent aussi rebuter par leur aspect old-school, mais quand on dépasse ce détail, qui offre un certain charme aux histoires, on a affaire à des récits Star Wars intéressants à lire.
![[Sorties Comics] Vendredi 17 Mai](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
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![[VF] Sélection MDCU de mai 2024](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_37732_vf-selection-mdcu-de-mai-2024_1714139642.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (3)
Jeff Staff MDCU
il y a 1 mois
Enième réédition pour Locke and Key. L'ouvrage vaut le détour, ça, c'est évident. Si vous ne l'avez pas encore, cette édition peut-être un bon compromis. Si vous l'avez déjà, il est inutile de vous pencher sur celle-ci, aussi bien soit la couverture.
BartAllen Staff MDCU
il y a 1 mois
Nouvelle édition pour Locke & Key, une série qui vaut largement le détour pour son ambiance pesante et côté horreur. Hi Comics propose une version intégrale similaire a ce qui a été fait pour les Tortues Ninja, à savoir une couverture souple et un vernis sélectif dessus. Si vous ne l'avez pas déjà, c'est un bon compromis car moins cher que les deux premiers tomes spéarés.
Julien Staff MDCU
il y a 1 mois
On ne présente plus Lock & Key, une référence du comics fantastique et d'horreur. Une version intégrale = une nouvelle chance de découvrir et/ou posséder ce bijou.